Notre histoire, nos actions, nos valeurs FO56
Plus de 70 ans d'histoire et d'expérience
FO est un syndicat qui puise son origine dans la première Confédération interprofessionnelle, créée à Limoges en 1895, qui se nommait : Confédération Générale du Travail.
Cette “CGT”, à l’époque, avait pour seul objet, la défense des intérêts des salariés. Par la suite, ce syndicat a subi l’influence politique des communistes, qui provoqua plusieurs scissions. Tous ceux qui étaient attachés à l’indépendance syndicale condamnèrent et refusèrent la politisation de la CGT et sa soumission au Parti Communiste Français. C’est alors, par conviction, qu’ils créèrent (avril 1948) la Confédération Générale du Travail FORCE OUVRIERE (CGT-FO).
Mais pourquoi avoir conservé le sigle CGT ? Bien sûr, par fidélité à l’idéal de liberté et d’indépendance syndicale, qui était à l’origine de la création du mouvement syndical interprofessionnel, mais aussi pour garder ses racines et continuer le véritable syndicalisme indépendant.
Aujourd’hui FO - historiquement et juridiquement la CGTFO - est le seul syndicat français libre et indépendant à l’égard du patronat, des gouvernements, des partis politiques et, de façon générale, de toute influence extérieure au syndicat.
Manifestations F0 56
FO56 se mobilise dans le Morbihan en Bretagne mais aussi pour les grandes causes à Paris.
Avec la crise sanitaire, la mobilisation de FO56 s'applique quotidiennement pour accompagner les adhérents.
Les manifestations étant actuellement limitées,
nous agissons juridiquement :
"Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire; c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques."
Extrait du discours de JAURES adressé à la jeunesse
La charte d'Amiens, fondement du syndicalisme libre et indépendant
Le CONGRES CONFÉDÉRAL D'AMIENS confirme l'article 2, constitutif de la C.G.T.
" La C.G.T. groupe, en dehors de toute école politique, tous les travailleurs conscients de la lutte à mener pour la disparition du salariat et du patronat...
Le Congrès considère que cette déclaration est une reconnaissance de la lutte de classes qui oppose, sur le terrain économique, les travailleurs en révolte contre toutes les formes d'exploitation et d'oppression tant matérielle que morale, mises en œuvre par la classe capitaliste contre la classe ouvrière.
Le congrès précise sur les points suivants cette affirmation théorique:
- Dans l'œuvre revendicatrice quotidienne, le syndicalisme poursuit la coordination des efforts ouvriers, I'accroissement du mieux-être des travailleurs par la réalisation d'améliorations immédiates, telles que la diminution des heures de travail, I'augmentation des salaires, etc...
Mais cette besogne n'est qu'un côté de l'œuvre du syndicalisme; il prépare, l'émancipation intégrale, qui ne peut se réaliser que par l'expropriation capitaliste; il préconise comme moyen d'action la grève générale et il considère que le syndicat, aujourd'hui groupement de résistance, sera, dans l'avenir. le groupement de production et de répartition, base de réorganisation sociale.
Le Congrès déclare que cette double besogne, quotidienne et d'avenir, découle de la situation des salariés qui pèse sur la classe ouvrière et qui fait à tous les travailleurs quelles que soient leurs tendances politiques ou philosophiques un devoir d'appartenir au groupement essentiel qu'est le syndicat;
Comme conséquence, en ce qui concerne les individus, le Congrès affirme l'entière liberté, pour le syndiqué, de participer, en dehors du groupement corporatif, à telles formes de lutte correspondant à sa conception philosophique ou politique, se bornant à lui demander, en réciprocité, de ne pas introduire dans le syndicat les opinions qu'il professe au dehors;
En ce qui concerne les organisations, le Congrès décide qu'afin que le syndicalisme atteigne son maximum d'effet, I'action économique doit s'exercer directement contre le patronat, les organisations confédérées n'ayant pas, en tant que groupements syndicaux, à se préoccuper des partis et des sectes qui en dehors et à côté, peuvent poursuivre, en toute liberté la transformation sociale. "
Congrès des 8 -14 Octobre 1906
(texte adopté par 830 voix contre 8 et 1 blanc)
Notre équipe FO 56 à votre écoute
PIERRICK SIMON
SECRÉTAIRE GÉNÉRAL
DE L’UNION
DÉPARTEMENTALE FO56
MARIE-JO LE CADRE
PRESIDENTE DE L’AFOC 56
SECRETAIRE
DE L'UNION LOCALE
DE VANNES FO56
SYLVIE COGUEN
SECRÉTAIRE ADMINISTRATIVE
FO56
CHRISTIAN CADIO
JURISTE FO56
DEFENSEUR SYNDICAL
SEGOLENE DANCIN
JURISTE FO56
DEFENSEUR SYNDICAL
DAVID CHETANEAU
DELEGUE SYNDICAL FO56