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FO Morbihan : Kézako?
Liberté, égalité, laïcité…
Vous êtes basé dans le 56 (Morbihan), salarié d’une entreprise, d’un artisan ou d’un particulier.
Vous êtes agents de la fonction publique et vous avez des questions relatives à vos conditions de travail, votre salaire, vos droits FO vous accompagne dans vos démarches.
Vos conseillers et vos représentants sont joignables
au 02 97 37 66 10 ou contact@fo56.fr .
Syndicats & associations rattachés
à Force Ouvrière Morbihan
FO Adapei 56, syndicat pour une association dans le champ du handicap
Notre spécialité : Le HANDICAP
La section FO de l’Adapei56, accompagne tout collègue et toute équipe sur l’ensemble des établissements et services de l’association. Nous sommes attachés aux valeurs d’intelligence collective, d’indépendance, de proximité.
Pourquoi se syndiquer chez Force ouvrière
FO 56 s’engage depuis 1948 à défendre les salariés, découvrez les avantages à entrer dans un collectif dynamique :
Des implantations de proximités dans le 56 (Lorient, Hennebont, Vannes, Pontivy)
Une prise de contacts sous 48 heures
Une expertise juridique avérée :
80% de nos dossiers défendus gagnés aux prud’hommes
ou et la cour d’Appel
Tarifs
à Partir de 120€/an
soit 10€/mois
Remboursement des impôts
à hauteur de 66%
pour défendre vos droits.
MÉTAUX : 120,5€ /an
FEC : 132€ /an
FGTA USTA : 141€ /an
BTP : 126€ /an
CHIMIE : 145€ /an
Des militant-es attentifs à l’autre, fortement impliqués dans la défense
des droits des salariés
Une Union Départementale ouverte
à chacun et apolitique
Nos témoignages
Didier Thomas
Préparateur en pharmacie
" Je me suis syndiqué dés l'apprentissage et je suis resté jusqu'à ma fin de carrière.
Solidarité et responsabilité ont toujours été ma devise."
Elsa
Dans le domaine de la restauration
" Ils sont présents pour m'épauler,
ils sont réactifs et disponibles.
Au prochaines élections,
je vote FO ."
Philippe Pédron
FO COM pour la Poste
" Je suis militant parce que j'ai horreur de l'injustice. J'aime les gens.
Lorsqu'il y a une injustice, nous mettons tout en œuvre pour obtenir réparation."
Nos sondages
Nos appels à la grève
Nos pétitions
Technologia
SYNCEA
AG2R La Mondiale
Macif
Groupe Up
Malakoff Humanis
Web, Art & Bio
Notre équipe FO 56 à votre écoute
PIERRICK SIMON
SECRÉTAIRE GÉNÉRAL
DE L’UNION
DÉPARTEMENTALE FO56
MARIE-JO LE CADRE
PRESIDENTE DE L’AFOC 56
SECRETAIRE
DE L'UNION LOCALE
DE VANNES FO56
SYLVIE COGUEN
SECRÉTAIRE ADMINISTRATIVE
FO56
CHRISTIAN CADIO
JURISTE FO56
DEFENSEUR SYNDICAL
SEGOLENE DANCIN
JURISTE FO56
DEFENSEUR SYNDICAL
DAVID CHETANEAU
DELEGUE SYNDICAL FO56
Historique
Née en 1895 sous l’appellation CGT, la CGT-FO est apparue sous ce sigle en 1948 à l’initiative de militant(e)s refusant l’emprise du parti communiste sur la CGT.
Depuis ses origines, le principe et la pratique de l’indépendance syndicale sont au cœur de son comportement, de ses analyses, de son rôle. Cette indépendance vaut à l’égard des partis politiques, des gouvernements, de l’État, du patronat et des églises.
À l’origine, au plan syndical, de la création de nombreuses structures de protection sociale collective (Unédic - Retraites complémentaires notamment), elle a toujours considéré que la pratique contractuelle était un outil important pour construire et développer des droits collectifs à tous les niveaux (interprofessionnel - branches d’activité - entreprises).
En ce sens, Force Ouvrière a toujours combattu le tout État comme le tout marché.
Fondamentalement attachée aux valeurs républicaines (Liberté - Égalité - Fraternité - Laïcité), elle défend le service public et la sécurité sociale comme des structures assurant des droits égaux aux citoyens.
Ligne de conduite de Force Ouvrière depuis 1895, l’indépendance syndicale est aussi ce qui assure son avenir en tant que valeur fondamentale.
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Qui est concerné par le syndicalisme ?Tous les salariés, c’est-à-dire, toutes celles et tous ceux qui perçoivent un salaire en contrepartie de leur travail.
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Et ceux qui sont au chômage ?Les chômeurs restent des salariés; ils sont, il faut le souhaiter, privés temporairement d’emploi, mais pas de droits; c’est d’ailleurs le syndicat qui les représente tant auprès des autorités ministérielles, que des organismes sociaux.
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Et les jeunes ?Après leurs études, les jeunes recherchent généralement un premier emploi salarié. Dans cette phase déterminante pour leur avenir le syndicat est là pour les aider à conclure un vrai contrat de travail. Courriel : fojeunes@force-ouvriere.fr
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En fait, c’est la solidarité entre tous les salariés…?Oui, le syndicalisme c’est la solidarité entre tous les salariés, quelles que soient leur situation, leur secteur d’activité, leur qualification et leur âge.
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Cadre et ouvrier même combat ?Le syndicat est pour tous: ouvriers, employés, techniciens, agents de maîtrise, ingénieurs et cadres. Tous ont des intérêts communs, y compris les salariés au chômage.
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Pourtant les revendications des uns ne sont pas toujours celles des autres…?C’est vrai. Aussi, les revendications catégorielles sont déterminées dans les différents secteurs professionnels par les intéressés, de sorte que cela ne porte pas préjudice aux autres. C’est ça la solidarité!
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Comment mettre cette solidarité en action ?Ensemble dans un syndicat, afin d’échapper au jeu du patronat qui nous oppose les uns aux autres et licencie les uns comme les autres.
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Ce n’est pas aller un peu loin ?Même si l’affirmation peut choquer certains, la question ne se pose même pas. En bas ou en haut de l’échelle, l’aspect humain s’écarte au profit des intérêts financiers. La preuve, plus une entreprise licencie, plus sa cote monte en Bourse…
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Quelle est la force du syndicat ?Celle que lui donnent le nombre et la détermination des adhérents et des militants. Mais une force, c’est comme la forme, ça s’entretient ; en matière syndicale il faut toujours plus d’adhérents informés et formés, pour obtenir de nouvelles avancées et garanties sociales.
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Pourquoi les salariés ne sont-ils pas tous syndiqués ?Certains pensent qu’ils sont assez forts pour se défendre tout seul, d’autres comptent ouvertement ou non sur les syndiqués, ne font rien… et critiquent. Mais, il faut ajouter que des syndicats sont sortis de leur rôle. Marqués politiquement ou trop “arrangeants”, ils ont sacrifié leur indépendance, et, en même temps, une part de crédibilité et d’efficacité du syndicalisme.
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Un vrai syndicat est donc indispensable ?Ça ne fait aucun doute ! Regardez autour de vous, de regroupements en réorganisations, les entreprises deviennent de plus en plus fortes. Il en est de même dans la Fonction publique et le secteur public où la “privatisation” est à l’œuvre. Le moyen de se regrouper pour les salariés, c’est le syndicat. Le poids d’un vrai syndicat (indépendant) rééquilibre les forces en présence et vous permet ainsi de négocier d’égal à égal, afin d’obtenir ce que vous n’obtiendrez jamais seul.
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